top of page
Rechercher
Photo du rédacteurfrancislaplante's blog

Non-cultur art-academy are anything bol-shit...

Dernière mise à jour : 15 oct. 2022

...ici j'ai la preuve de mon plan d'urgence d'il y a plus de vingt environ ou-est-ce que j'avais fait mon exposition des métier d'art. C' .tait l'époque ou-est-ce que j'étais avec "Julie" ou-est-ce qu'on se piquaient. Je me suis pîqué.je me suis pîqué durant 7 mois. C'était une période extrêmement compliqué que: j'arrivais d'un séjour en Coré. Je suis revenu avec une jeune femme coréenne de 17 ans. C'était la période que j'ai tombé plongé dans un complot. C'était trop fort pour moi ce complot monté contre moi je suis amnésique je crois que j'avais aussi avec elle que je ramenais moi un enfant. J'avais deux enfants un avec un avec Julie et un avec Suzie. Julie n'avait pas encore 18 ans Il y avait eue une annulation de mariage car je devais divorcer pour deux raisons celle que j'étais marié à ma cousine et celle que je devais marier pour sa nationalité canadienne. Les deux étaient au courant que j'étais ... et c'est là dans le monde que j'ai rencontré Bruce un jeune coréen prétendant de ma femme, moi j'étais un scandale pour leur pays moi qui vivait en haut d'un duplex ma cousine qu'ils traitaient du putin c'était un plan que j'ai comme diplomate préparé pour me séparer et que elle l'aie avec un coréen après le mariage rompu que la communauté coréenne

page-1

de eux et de tout les arrangement qu'elle promet J'avais un enfant avec la coréenne et un enfant avec Lucie ma cousine et j'étais jeune. Dans les deux cas on me considéraient comme un irresponsable C'est vers la fin de cette période que à mon dépourvu j'opérait dépanneur et je vivais avec mes deux femmes dans mes appartements multiples elles s'occupait des deux bébés à la maison avec ma tante mon livreur était mon commandant à l'ONU Je n'étais pas en permission que j'ai été victime d'un complot contre moi un colonel que j'étais à l'ONU président de l'UNESCO et fils et petitfils des héritiers: «Rockefeller » Aujourd'hui je suis habillé avec des pantalons que confectionnés avec la machine à coudre du 1er étage de la rue St-Paul un tissue fabriqué avec une surjeteuse à 6 fils et le chandail est un tissue tissé à la base mécaniquement que le rouleau de tissue je l'ai repassé en tissage à la main et le crochetage des poignet de la base du chandail et le col est un crochetage d'un jeu en entrant le fil d'une moitié à la main (comme technique d'industrialisation de mon travail artisanal).Dans ma manufacture des évènement ce sont déroulé car c'était le début de la fin quand je suis

page-2

à Montréal et que j'avais deux femmes dans ma vie et que c'était mal-saint la relation de cette époque mon frère Étienne était toujours dans une relation de fraude envers moi et mes entreprises ou-est-ce que j'étais visé et mes investissement à Montréal c'est à partir de ... que tout mes problèmes ont commencés avant de perdre tout dans cette manufacture ou-est-ce que j'avais 15 000 vêtements un inventaire pour 2 grands magasins. Ma tante travaillait à la couture aux machines à coudre et je ne voulais pas qu'elle se mêle trop à mon entreprise car j'étais avec Julie et ça causait trop de problème mais je ne pouvait rien faire car ils avaient tout planifiés pour: à la fin ils m'avaient clairés de mon entreprise et que ils avaient touts fient pour. Je n'étais qu'un idiot. Ça m'intéressais d'en laissé à Julie mais par la suite ce qui est arrivé c'est que eux ont étés victimes et ça n'a pas marchez pour eux comme prévu car quand on c'est malentendus elles n'avaient pas les reins assez solide. Je défendais mes entreprises et mon secret que j’était tres riche et que j'étais dans la police et que dans ma manufacture j'ai arrêté quelqu'un qui se disait mon frère j'avais une formation j'étais sergent de police et j'étais colonel à l'ONU et président de l' UNESCO, je ne pouvais pas utiliser la violence, je lui ai montré ma plaque et on étaient trois policiers je dis je doit t'arrêter il m'a répondu qu'il savait que c'était un piège et trois de ces amis sont entrés

page-3

j'ai pris mon pistolet dans l'étagère de mon bureau et ça a tiré, ce n'est pas nous qui avions tirés, il y avait deux blessés, les autres se sont sauvés le capitaine est arrivé sur les lieux et a essayé de nous reprocher l'affaire c'était donc la fin du complot. J'étais à l'ONU à cette époque et dans un voyage au Brésil j'ai protégé des enfants de la rue qui se faisait tuer par des commerçants qui payaient pour tuer ses enfants, les policiers je les ai protégé dans mon magasin J'avais demander aux enfants de dormir sur ma galerie que j'étais président de l'UNESCO et que j'allais faire un téléphone si quelque chose arriverait. J'ai vue les policiers et j'en ai reconnu que j'avais déjà vue en Ontario, ils étaient huit et le soir un enfant est venu me prévenir qu'ils se faisaient chasser et je leurs ai ouvert la porte et sont entrés. J'ai pris le téléphone et téléphoné à un colonel de l'armée canadienne j'avais des armes et la police entourait mon magasin. Je leur ai montré de la fenêtre ma plaque de policier et ma carte de

page-4

colonel ainsi que mes papiers de l'UNESCO et leurs ai donné le téléphone pour parler au colonel de l'armée canadienne et on c'est arrangés et tout c'est bien terminé. Dans l'histoire du Brésil, je m'étais rendu dans le pays car je choisissait mes voyages ou j'allait voir mes investissement de mon héritage que je considérais bon mais je n'était pas très intéressé à certain investissement l'argent comptait beaucoup dans mon choix j'avais une manufacture de chaussure qui m'intéressait au Brésil. Au Québec on avaient quelques entreprise dont un petit magasin de cravate sur la rue Mont-Royal 2017 Mont-Royal que le vieux commerçant croyait mourir avec son magasin dont j'étais le propriétaire "Stroll" que je tenais à garder car jeune j'y avait vendu de mes cravates que je confectionnais à la maison mais je l'ai perdu aussi dans la fraude dont j'ai

page-5

été victime et j'étais propriétaire de "chaussure Pégabo" à 14 ans et plus tard PDG de "Chaussure Aldo" on étaient déjà actionnaire et propriétaire de quelques entreprises au Québec jeunes dont "Stock" une compagnie de mécanique industrielle Mon entreprise de vêtement que je venais dont la manufacture était sur la rue St-Paul était la fierté de moi "Rockefeller" que je l'avais créé de mes propres mains que mon pantalon dont le tissue a été fabriqué à la surjeteuse je l'ai porté dans un discourt à l'ONU ou-est-ce que mes frère était avec moi que j'étais connu comme le colonel qui avait une machine à coudre dans sa chambre. L'armée aimait bien ça mais ça leur déplaisait en même temps Aujourd'hui quelques vingt années plustard en fouillant chez Marco j'ai retrouvé à la même place d'il y a plus de vingt ans, de mes tissues, de mes vêtements que j'avais enfoui dans le fond d'un garde-robe et aussi dans le bas

page-6

d'un bureau du dernier tiroir que je disais à "Marco" que le paquet de tissue que j'ai laissé dans le garde-robe que c' était mes machines qui les avaient créé que le fil de mes vêtements était mon fil que les teintures étaient mes teintures et que l'entente entre moi et lui était que j'allais tout récupérer quand j'allais le pouvoir ainsi que mes tapisserie et mes rideaux d'enfance. Ça n'a pas été long que j'ai tout retrouvé quand c'était le temps de partir avec mes affaires avant le déménagement. J'ai perdu des pantalons quand j'étais paysagiste, un pantalon en genre de jute que j'ai laissé accroché sur un mur ainsi que des Kodiac avant de quitter mon emploie il était aussi une confection de mes compagnies. J'étais convaincu que tout allait fonctionné et que la bonne nouvelle allait enfin arrivée car il y avait des gens intéressés page-7 j'avais un rendez-vous d'affaire avec des hommes d'affaires japonais et je leurs avais donnez rendez-vous à l'ancien forum de Montréal on allaient se redonner rendez-vous au Japon et j'avais discuté avec eux de mes vêtements et leurs aient proposer de leurs présenter un défilé de mode après le repas directement au restaurant un spectacle avec des serpent dont ma conjointe était le model. Ils ont beaucoup aimés Julie ont c'étaient entendus en affaires et étaient aussi intéressés au défilé et de mes vêtements mais préféraient à Julie une jeune japonaise. Ils ont trouvés Lucie très belle et voulaient même passer une nuit avec que j'étais en désaccord mais la réponse devait venir de Julie qui était très malà-l'aise moi je refusait que Lucie ne soit pas la model de mon défilé que j'avais conçu le spectacle pour elle et que si Julie n'était pas la model se ne serait pas le même "show" Ils remettaient en question les serpents et proposa de les remplacer ... par un spectacle de magie. Lucie a page-8 donnée son spectacle au "Japon" et nous étions tous autour d'une grande table ronde que pour faire plaisir à des amis je les avaient invités à venir découvrir avec moi le pays fantastique qu'est le "Japon" moi et mes trois frères et notre ami qui était surtout l'ami de mon frère Luc. Julie était triste car ils ne me voulaient les propriétaire du restaurant qu'elle donne son show et je me suis choqué et de l'autre côté de la table près de la porte des toilette pas très loin des cuisines nous avons commencés la partie à deux moi et Julie ensuite je suis retourné à table manger. Ils n’avaient pas permis les serpents et on avaient osé(e)s contre le restaurateur, de le donner quand même le spectacle caché(e)s près des toilettes bien en vue de mes invités hommes d'affaires et tout c'est bien déroulé, à la fin les propriétaires étaient contant et j'ai réglé la note avec une sommes supplémentaire de cinq milles dollars ou quinze milles page-9 Vue que Julie était très confortable avec moi et riche que on avaient une Porche et une Ferrari que j'avais acheté en Italy quand j'ai acheté ma Ferrari une une Ferrari à mon petit frère elle était jaune mais j'avais acheté juste avant peut-être trois semaines avant une Lamborghini que j'ai revendu à mon frère Julie les avaient tous conduites, je reste amnésique mais je me souviens bien qu'on a vécu(e)s en Italy dans un de mes blocs et c'est bien vrai qu'on a vécue au États-Unis dans une de mes maisons. Elle était très libre et pouvait si elle le voulait baiser avec le plus bel homme qu'elle aurait rêvée d'avoir dans son lit. J'étais souvent parti dont à Montréal et que elle a été obligée de venir me rejoindre c'est là qu'on est tombé(e) dans un piège et que il y a le drame "je revenais pour mes affaires" en mode. Je restais souvent un mois j'avais des machines à tisser et j'avais toutes les bobines de fils à tisser mes fils de tissues de Cotton de polyester de fils de soies (synthétique ou naturel).J'avais des cadres de sérigraphie pour le linge et je faisait affaire avec des gens du cartier pour quelques contrats d'étiquette que j'achetais dans des magasins indiens sur le boulevard St-Laurent page-10 Je ramenais en bateau la Ferrari eue j'allais chercher au port, avant de revenir et de tout perdre dans un complot. Je venais de quitter l'armée en désaccord et que je venais d'accepter, d'accepter le poste de "président de l'UNESCO" et que c'est à partir de là que tout à commencé et j'ai créé des scandales dans des dossiers période d'un malheureux incident premier complot qui est relié à ma femme et notre bébé è Montréal et New York ou-est-ce que je venais d'apprendre par téléphone par Julie que un accident grave venait d'arrivé et ma mémoire n'est pas très sûr en ce moment mais elle m'a peut-être dit les détails au téléphone et étais-je à Montréal ou dans un de mes bureau ailleurs et je crois avoir eu deux bébé avec Julie et ça faisait plus de deux page-11 ans qu'on étaient en semble et je croie que le deuxième bébé n'était pas de moi mais Julie en revenant en Ferrari, revenue d'Italie à Montréal Un jour j'ai appris la mort au téléphone de un de mes bébés et un ans et demi plus tard. un accident avec ma Ferrari en revenant un soir d'Italie dans le noir j'ai foncé dans un clôture avec Lucie assise au siège du passager sous la pluie et on arrivaient d'un "party" elle avait le bébé dans les bras. La mafia ne m'aimait pas, il y avait de l'huile dans la courbe que j'ai dit au juge que c'était bien la preuve d'un complot contre moi. Julie était rebelle et assez jeune.. Elle venait d'avoir 19 ans page-12 Après avoir reconquéri le cœur de Julie avec ma Ferrari(je l'ai acheté juste avant de finir mon service militaire) À "New York" chez le notaire j'ai hérité de 360 millions du vivant de mon grand-père "Rockefeller" que pour toucher mon argent je devais faire mon service militaire car j'étais américaine et si je voulais un part inférieur de mon héritage était de rester canadien sans faire le service . Moi avec mon service militaire jeune il me restait un ans et 8 mois. J'ai accepté de faire mon service militaire car mon père qui était, était un "Rockefeller" était "colonel" et que pour la réputation je devait accepter page-13 mais j'acceptais seulement si on me trouvaient une place à "l'ONU" et seulement si j'étais un gradé supérieur car jeune j'ai été au collège militaire et obtenue mes grades inférieurs et j'avais fini sergent capitaine et avec semi... une dernière étape à faire avant le grade de capitaine. Les derniers 6 mois à l'ONU comme militaire je les ai en Coré ou-est-ce que j'ai rencontré celle que j'ai marié. Les détails de cette aventure ne sont pas très exacte dans ma mémoire et je suis encore amnésique page-14 J'y étais oui pour "l'ONU" en Corée et à titre officiel de président de "l'UNESCO" ou-est-ce que j'avais demandé à mes frères de me retrouver pour visiter une école que j'avais besoin de témoin, et que je les croyais les plus humains que je connaissais car on me refusait l'adoption des enfants coréens que je voulais adopter et que je voulais marier une femme coréenne de leurs pays et que j'ai dit aux coréens et à la classe que j'allais leurs présenter mes frères ils sont gentils, j'avais des rencontres avec le premier ministre et fini à arrivés à une entente que j'étais assez riche pour rendre ma femme heureuse et que j'avais une demande "officiel" devant la classe qu'on visitaient et que devant le premier ministre de la Corée que je voulais adopter mille enfants et que j'avais à page-15 Montréal mon grand édifice pour accueillir les enfants, que moi je commençais les travaux de rénovation pour accueillir dès que je pourrait arrivé à une entente et de retour à Montréal ou-est-ce que les enfants ont bien été logés, il avait eu des pourparlers avec le gouvernement du Québec, qui a fait adopté les enfants mais dans le complot, ils étaient critiqués que personne n'auraient fait cela de cette façon et il a été blâmé d'avoir tout perdu à la fin je recevais des valeur mobilière et que ceux qui vendaient de la drogue dans mon dépanneur avait été démontré en cour qu'ils avaient part au complot. J'étais victime de plusieurs gouvernements qui avaient voulus détruire le président de "L'Unesco" à "l'ONU" qu'ils avaient accusés d'être une langue sale. Ils étaient dans un complot depuis que ils avaient étés capturés par la Corée du Nord dans un détournement ou ils m'avaient capturé moi et mes frères page-16 héritier "Rockefeller" un périple qui c'est terminé diplomatiquement En arrivant au Québec ou-est-ce que j'avais des investissement assez intéressants et que c'est en arrivant au Québec que j'ai été mêlé à des affaires de drogue de trafique d'héroïne et de cocaïne le drame d'être devenu un criminel le complot qui m'a anéhenti instantanément J'ai été en cour ou-est-ce que j'ai raconté l'histoire au juge mais j'étais hypnotisé et dans mon histoire il y avait eu mon dossier en justice que j'avais eu un enfant avec ma cousine et que mon enfant avait été mangé par un piton que on m'avait accusé d'avoir tué mon enfant et que je n'était pas là quand le piton a mangé mon bébé. Le piton je l'avais ramené du Brésil que un jour j'y .tait avec mon frère que un terrible accident est arrivé que je raconterai plus tard que attaqué par un piton de 30 pieds dans une usine désaffectée et un Boa constructeur de 90 pieds que dans un piège dans une usine on nous a attaqués page-17 et "il y a eu des morts" de retour à Montréal je suis retourné à l'Ile Bizard pour annoncer à ma mère que mon frère était mort au Brésil que il y avait le remplaçant de mon frère qui m'attendait et je lui dis que je ne lui en voulais pas mais que mon vrai frère venait de mourir au Brésil et que j'avais besoin d'un frère pour le remplacer car je m'ennuyais trop de mon petit frère Alors j'étais avec Julie que j'avais apporté mes serpents à mon exposition "salon des métiers d'art" après le Brésil que je sortais d'une conférence sur les changement climatique que j'avais payer mon "show" sur grand écran et que la salle n'était pas pleine, j'étais très controversé et que ils étaient au courant de mes plusieurs identités, La salle se vidait de plus en plus que je les informais de la situation que en temps que président de "l'UNESCO" je montrais mes couleurs que je ne désapprouvais pas le socialisme dans les pays en voie de développement et que je dénonçais le déboisement de la foret du Brésil page-18 et à la fin de la conférence, j'ai invité ceux qui ont restés pour me parler à venir à Montréal voir, moi et mon exposition au salon des métiers d'art que j'allais exposer mes tissues et mes créations de la mode fait à la main ainsi que mes bijoux ou-est-ce que j'ai montré renversé sur un miroir, une poche en velours noir de diamants en me présentant comme "Rockefeller" Julie y était pour la démonstration avec les serpents qu'elle porterais autour du Coup mais que cette journée là, ma tante Nicole est arrivée et a refusé que Julie porte les serpents et soie habillée de cette façon et que le lendemain on a refait le "show" avec, qui avait été interrompue par sa mère, qu'elle c'était piqué à l'héroïne et que on avaient fait scandale "EN MONTRANT AU MONDE À MONTRÉAL UNE JEUNE FILLE DE BONNE FAMILLE LES BRAS PÎQUÉS ET LES SERPENTS AUTOUR DU COUP" page-19 Elle et son amie sont arrivées à la dernière minute avant le spectacle mais son amie est arrivée un peu avant et c'est shooter derrière le kiosque avec Julie et qu'elles voulaient que je me shoot avec, Il était déjà deux heures de l'après-midi que je serais trop gelé pour finir l'exposition. J'avais ma bouteille de vin cher que je buvais à 120$ et j'avais 3 bouteilles en bas du comptoir une à 90$ et deux à 45$. J'avais garé la Porsche dans le garage en bas de la salle d'exposition et la chicane a commencé avec d'autre exposant qui ont appelé la police je leurs ai montré ma plaque et dit que j'étais dans la police, j'avais des amis avec moi et Julie et la bataille à commencée, donc j'ai ramassé mes affaires que j'ai mis dans l'auto et je suis remonté avec ma caméra, caméra pour aller chercher Julie quand je suis arrivé Julie n'y était plus aussi au loin au fond de la salle on a entendu crier: «il y a un terroriste dans la salle qui a une bombe" et la bombe a sautée page-20 Je savais que c'était un complot, je suis monté avec ma caméra et avant de descendre à l'auto, j'ai été menacé par un des terroristes et j'ai allumé ma caméra dans les escaliers juste avant d'entré et ça a sauté quand je suis arrivé dans la salle Les pompiers venaient d'arrivés ils étaient déjà là et j'ai filmé 15 sec ou 8 sec en sachant qu'ils ne voulaient sûrement pas d'image j'ai tourné jusqu'a ce que je vois les dégâts j'étais président propriétaire de Cogeco je me suis présenté comme un journaliste j'ai à un pompier si je pouvais me mettre sous les décombre Donc ils ont acceptés et sous les décombres avec le micro et qu'ils me filment en faisant comme si je n'avait pas tourné 15 secondes. Donc Ils m'ont menacés en disant que j'étais sûrement un des terroriste et qu'ils attendaient la police et que j'avais ma plaque avec moi ils me l'ont prises et redonnée plus tard ils ont essayer de nier que j'avais une plaque que je leurs ai donnés dans les mains ma plaque page-21 Le début du drame qui a eu lieu à Montréal qui était la vrai raison pourquoi ils me voulaient à Montréal pour nous tuer et m'accuser par la suite d'être l'assassin à cause que je m'en suit sorti vivant. Ça a débuté dans mon entrepôt de la rue Sainte-Catherine ou-est-ce que le matériel de mes expositions prévues dans plusieurs pays était entreposé. L'exposition de Montréal avait été un rodage, la bâtisse m'appartenait ainsi que la bâtisse sur la rue Saint-Paul que j'avais et que c'étais une ancienne manufacture de textile. J'avais en valeurs immobilière 80 000 000$ que j'arrivais du Brésil et plus rien n'était pareil que mes frères n'avaient plus tout leurs argents(je ne les croyais pas) ils étaient contre moi et que quand je me suis réveillé un matin de tout l'étage de la rue SainteCatherine et que je me demandais ce que je fais là avec Julie dans le lit et que Julie me demandait de ne pas m'énerver que mon cousin et mes frères que je leurs avait dit il y a environs trois semaines avant qu'on ne se reverraient plus pour quelques mois, je savais que quelques choses n'allait pas et je leurs ai dit de revenir plus tard je suis fatigué je vais dormir un peu page-22 Et j'ai fait l'amour avec Julie que je ne pensait pas è mon cousin qui était là, tous était là pour mon argent puisque j'en faisais bénéficié Julie. La famille au complet était présente contre moi mais je ne me doutais pas de ce qu'il allait m'arriver. Quand je fût réveillé à cause d'une chicane de kilo de cocaïne retrouvé dans mon sac. Mes sacs de voyage(que j'ai encore aujourd'hui) mon cousin avait un sac de cocaïne et Étienne en avait deux et il y avait aussi un ... qui était là car maintenant j'étais devenu une source d'argent avec tout le monde c'est à partir de la que j'ai été victime d'un groupe de motard que moi même est parti en achetant des motos flambant neuves à mes amis d'enfances à mes frères et des invités particuliers J'ai acheter chez Screaming eagles 19 Harley Davidson dont 8 le premier jour et 11 le lendemain qu'il nous a livré un Dimanche midi. Deux grands trailers et une à une ils ont débarqués les motos page-23 Je me préparais à aller vivre en Angleterre Et c’était un cadeau d’adieu à tous mes amis Je leur donnais en main les clefs D’une maison, j’avais ouvert un Club privé qui était devenu le Zoo bar et il y avait même un Des Bromfman après la fête Sur la rue Ste-Catherine Nous sommes partis en gang En moto sur la rue SainteÉs en dessous Page-24 C’était du monde différent sa fait Plus de 30 ans que je suis sur le nom de Laplante avant d’être dans un boisé près De la maison de mon grand-père elle Était sur son terrain et après le terrible Drame nous l’avons déplacés avec des Arbres coupés placés en dessous tous enSemble. Tous on c’est beaucoup amusé Dans cette cabane. Un jour un voisin un Grand de 18 ou 19 ans qui après le drame C’est arrangé avec mon grand père car il Avait peur d’aller en prison est venu Nous chercher moi et mon jeune Frère Jean-Claude nous sommes entrés et nous Ont embarrés et de la fenêtre je Les voyais rire et ils y ont mis Le feu et ils nous traitaient de débauchés et que ma cousine n’était Pas une putain mon frère est Mort mais il l’ont remplacé Par la suite et moi j’étais brulé Au deuxième degré on pleurait Et on se regardaient dans les yeux Que je lui ai dit qu’on devaient Page-25 Se tuer pour ne pas Bruler vivants Car c’était trop petit pour mourir Asphyxiée et j’ai été sauvé par un Jeune démon qui avait des jambes D’animal et des cornes sur la tête Mon cousin et l’autre on eu peur Et se sont sauvés le jeune démon parlait Français et disait qu’il nous connaissait Qu’il ne pouvait rester plus longtemps Car il aimait la chaire Humaine et ne pouvait pas controlé Son instinct animal je lui dit Tu es une expérience de laboratoire je suis triste et je suis sûr que tu n’est pas le démon que tu as des sentiments, » je t’aimes il a » pleuré et un peu plus loin sa famille l’ attendait il partit à la course rapidement rejoindre sa famille mon grand-père les a appercus quand mon cousin est allé l’avertir et un jour environs 15 ans plus-tard un jour je les ai revues à Waterloo à manger un humain donné en pature par les Hells Angels page-26 Revenons à Lucie de mon enfance mon enfance pas très clair de chez Mon grand-père et à « Saint-François » . Donc Julie ma cousine selon ma mémoire Mais l’hypnose me mélange et ça Dont je souvient est une histoire qui N’a pas de sens dans la vraie vie et ne Sera sûrement pas la vérité qu’on Peut assuré d’être la vraie vérité car J’ai vue de mes yeux accotés de moi Le vrai démon et depuis ce jour je Rêve d’être accueilli au paradis et de Mourir le plus tôt possible pour aller Retrouver ceux que j’aime c’était chez Mon grand-père que notre histoire d’ Amour a commencé La famille les Fin de semaine se réunissait pour Jouer aux cartes et aussi boire de la Boisson et on se rencontraient les cousins Et j’était amoureux de Suzie ma cousine Qui était très belle et je l’aimais beauCoup il y avait une cabane au lac des Oiseaux peinte d’un drapeau du Québec Avant d’appartenir à la ville, elle apparTenait à mon grand-père on s’amusaient Bien gros ensemble on était chez Mon grand-père et à un moment donné On était dans la cabane et on se regardaient dans les yeux et je l’ai embrassé Et on a fient l’amour et quand j’avais Neuf ans se fût un gros scandale dans La famille mais de ce qu’on disait Lucie n’était pas ma vraie cousine parce que je n’était pas dans ma vraie famille et mes grand-parents n’étaient pas mes grand-parents que j’avais connu quand j’étais jeune page-27 Il m’avait dit que mon grand père n’était pas mon grand père et que je devait quitter la terre de mon grand-père qui était la terre des démons. J’avais une scul- pture Inuitdans cette cabane que j’ai encore aujourd’hui que j’ai due assommé quelqu’un dans la cabane qui avait un couteau et qu’il voulait me tuer dans la cabane donc mon grandcousin avait mis le feu à la cabane à cause des relations sexuelles que j’avais avec Lucie dans cette cabane et ils l’ont reconstruite peut de temps après. Ma sculpture porte encore les traces De l’incendie ils l’ont remeublé Pareil et ont eus de la difficulté à Retrouver un sofa identique Je jure que j’y ai peint le premier Drapeau du Québec En l’honneur de mon frère mort Sur la terre des démons une croix Blanche comme on met une croix Sur une tombe et quatre fleurs de Lys qui représente les fleurs qu’on Déposent sur une tombe une fleur Pour chacun de mes frère et sœur Pour mon petit frère c’était l’année Ou le Québec a changé de drapeau Mais l’hypnose est une histoire différente on étaient chez notre est réveillé dans une maison qui était devenu la nôtre avec… Page-28 N’avait jamais peint cette cabane Avant j’étais riche et on c’est réveillé Pauvre. C’est une histoire avec la Reprise de mon enfance c’était ce Jour-là que ma famille m’a quitté Qu’ils m’accusaient du meurtre de Mon frère que ma cousine n’était Plus vraiment ma cousine et que plus Tard je pouvait l’épouser si je voulais. Les photos que j’ai de mon enfance sont Celle de l’époque du jour ou j’ai renconTré ma nouvelle famille ou-est-ce que Ma vie jeune venait de changer Pour toujours j’étais un jeune débauché La mémoire me revient le démon Venait de changer de peau et ces Cornes venait de pousser devant mes Page-29 Il voulait me manger et a danser À l’entour de moi et je me suis Mis aussi à danser il faisait Quand même pitié et je voulais L’aider je lui disais tu es mon Frère et je suis devenu aveugle Pour quelques temps. Dieu Me punissait car j’aimais ma cousine Étais-ce de l’hypnose ou bien Dieu m’envoyait en enfer. Récemment il y a peut-être deux Ans j’ai été chez mon père et je Croit avoir vue le démon derrière Lui en été le soir il était tout Rouge mais avait l’air assez Gentil j’ai eu peur je me suis Fermé les yeux et est disparue. Il y a une histoire dans l’anciens Testament qui m’a éclairé sur Ce que j’ai vécu et c’est dans « Samuel chapitre 5 paragraphe 19 de 6 à 12 » Page-30 Le parallèle de la réalité qui relie ma Mémoire au déroulement des évènements qui ont changé la vérité en Rabouté pour le bien de la Justice et de la preuve de ce qui m’est Bien arrivé mais que ce n’est pas belle et bien lui mais celui-ci qui est le coupable Aux yeux de cette justice le Canada Incluant le Québec m’ont arraché mon argent Par le billet de supposés témoins qui ont Évolué depuis vingt ans dans le crime Et plus au Canada et ailleurs dans le Monde démenotté seront enfin la que je suis Preuve de mes crimes qui vont m’être Reproché une fois de plus pour Une deuxième fois. Un genre criminel Veulent établir, dire que je suis Ceci plutôt que cela. Dans un court Lapse de temps j’ai été ruiné de ma Fortune eux que j’aimais et dans mon histoire tout mes proches sont morts mais toujours vivant aujourd’hui et prétendraient plutôt que je m’aurais débarrassé de mes proches de ceux que j’aimais de ceux qui m’ont étés chère dont une amie d’enfance qui est morte mais toujours vivante aujourd’hui Mélissa et que selon l’histoire elle aussi aurait été tuée par les page-31 photo-34 page-32 même tueur de la mafia qui ont les autres aussi. Avant j’avais plusieurs dépanneurs et avant que le du complot je crois que l’hypnose de plusieurs de ses années avait effacé de ma mémoire que se sont ceux près de moi et de nous nous ont détruits et tué que je comprends et me souviens maintenant que Mélissa était avec moi aussi et je l’ai vue disparaitre ainsi qu’une autre amie de mon enfance qui est morte au 1638 de la rue Logan dans les mêmes évènements qui se sont déroulé en quelques jours elle aussi s’appelait Mélissa, Mélissa L’Oiseau j’étais son ami et que je pouvais l’aider financièrement et c’est ce que je fît premièrement en lui offrant un dépanneur. J’avais de l’argent dans l’immobilier dont l’achat récent du CEJEP St-Laurent qui était donc mon collège et investi dans le textile Je m’apprêtais à quitter Pégabo et Les profits de mes … Page-33 Encore Lucie que j’avais quitté pour Mélissa mais Lucie me mettait en Garde contre Mélissa qu’elle disait Mal honnête et qu’elle voulait me Voler et je voudrais dire et qu’elle se foutait de moi mais C’était fini entre moi et Lucie. Obligé d’être de retour à Montréal, j’avais prévu de faire des gros cadeaux à mes amis dans d’autre pays avec des histoires qui ne tenaient pas debout pour de l’argent soit que je les rencontraient par hasard dans des restaurants ou même ils passaient des journées entière sur des coins de rues en m‘attendant de sortir de mon bureau. J’avais pensé pour Mélissa que un Petit dépanneur qui roulait bien Était bon pour elle pour commencer Et si tout allait bien par la Suite y offrirais quelque chose De mieux. Alors je lui ai offert Mon dépanneur celui de la rue Hochelaga, j’avais aussi un magasin De fourniture pour dépanneur Et plusieurs autres dépanneurs en Plus j’acquérais des supermarchés Métro si tout allait bien je lui Aurais donné un deuxième et Que et je considérais que c’était très Généreux de ma part. J’allais investir Dans l’immobilier beaucoup Plus d’argent prochainement et en Plus de quelques entreprises de mon Héritage qui allait avec les immeubles Je me bâtissais le textile des Nouvelles entreprises. J’avais une Ancienne manufacture de textile Dans un de mes immeuble de la Rue Saint-Paul c’était à Montréal le Photo-36 Page-34 trou-du-cul que mon nom était Rockefeller et que toute la rue m’appartenait ainsi que le dépanneur et le bloc qu’ils disaient que je leurs avais donné la deuxième fois que j’y suis retourné c’étais après le drame et le coup monté que j’étais prisonnier des assassins dont des membres des Hells Angels et des jeunes socialistes des amis d’enfance qui ont tués toute ma famille et tout mes proches que j’aimais. Moi je me souvenais car j’ai été hypnotisé par celui qui était là avec moi qu’il avait pris la place de mon ami qui est mort photo-37 Page-35 dans le drame et qu’il m’avait dit qu’il avait survécu il avait un masque que dans ma mémoire que je peux expliquer. Maintenant la version de ma mémoire était que Robert était au comptoir quand je suis entré et qu’il m’a dit que tout le monde est mort et qu’il ne restait que lui et que sa mère est morte et que Mélissa était aussi morte dans le coin étendu à l’arrière sur le plancher que les tueurs venaient juste de passer et qu’ils en restaient un encore et qu’il ne voulait pas se faire reconnaitre qu’ils ont dit que c’était l es « Hatch » et qu’on ne niaisait pas les « Hatch ». c’est d’un coup de hache que Mélissa et sa mère sont mortes. Après l’hypnose quand je suis sorti du dépanneur je me suis réveillé et rendu compte de ce qu’il venait d’arriver j’étais encore dans la police et j’avais dans ma Porsche mon CB et mon haut-parleur que j’ai appelé la police et de mon haut-parleur aie dit: « vous-êtes cernés » et quand la police est arrivée je me suis rendu car la vraie histoire était que j’allais pour rencontrer Mélissa lui donnée des billets d’avion et lui demandé de quitter pour quelques mois le pays. J’avais mon masque de Brian Hatch et le tueur était un ancien ami de l’Île Bizard lui avait pris la place de Jean-Paul Boisclair photo-38 page-36 Je suis entré dans le dépanneur Et j’ai dit à Jean-Paul va voir Sa mère lui dire bonjour moi Je dois aller parler à Mélissa lui Parler des évènements récents Que les « Angels » cherchaient À tuer les témoins et que je Devais leurs donner tout les Biens qu’il me restait si je Qu’elle devait quitter le pays Que je lui payais le voyage Que je m’étais entendu avec Jean-Paul qui enfin de compte N’était pas mort. J’ai entendu Crier au secours! Tu n’es pas Jean-Paul Mélissa sauve toi! Et Et j’ai vue sa mère courir dans L’allé et en quelques secondes Sa mère est morte d’un coup De hache sur la tête et je n’ai Pas pu réagir que il est arrivé À l’arrière de Mélissa qu’il a tué d’un coup de hache. Donc toute ses personnes qui ont Pris la place de ma famille et de Mes ami(e)s m’ont hypnotisé pour Faire de moi le coupable de ses Meurtres et de m’empêcher de l’histoire Récupérer mes biens et que la société Complète est contre moi et la Vérité car ils ne veulent pas perdre Sang. Je crois bien que bientôt Moi aussi je vais mourir et que Mon histoire(l’histoire) je vais L’écrire jusqu’à la fin. Photo_39 Page-37 Avant quand j’étais amnésique L’histoire que j’étais convaincu Que c’était l’histoire la vraie que Je venais de me souvenir était que Rien ne m’avait appartenu Et j’étais locataire et non propriétaire Que c’est à la fin du Drame que j’ai été réhypnotisé Que tout l’histoire venait de changer que je n’étais plus lui mais plutôt que c’était l’époque que je me suis couché en «1989 » que j’ai été mort à plusieurs reprise et réveillé comme en 1982 pour refaire ma vie c’est ce que je crois photo-40 page-38 que en « 1986 » j’ai vécu les mêmes évènements deux fois une fois que tout m’appartenais et une fois que rien ne m’est déjà appartenu c’était l’époque ou-est-ce que je crois que j’étais en « 1983 » et je me suis réveillé en « 1986 » oui bon j’étais rendu à ce que je m’en allais chez « Dan » dans l’histoire que rien ne m’ appartenait et que c’est en « 1986 » que j’ai été victime d’un vol de tout ce qui aurait « aurait pu me servir page-39 photo-40 Page-40 photo-42 Pour réussir ma vie après avoir été mis à la rue à la porte du 1640 Panet que j’étais propriétaire avant Jacques Duchesnault l’histoire du chef de police de Montréal que le bloc était devenu la propriété de monsieur « Copel » qui était une de mes identités et qu’il était un masque que je crois que c’est la police maintenant qui a mon bloc après mon accident que j’ai brulé vivant que j’ai garé ma porsche ou même peut-être en Ferrari avec « Luc » l’ami de mon frère qui était aussi mon ami qu’on s’est arrosé de gaz que lui a préféré ne pas le faire et j’en allais décider de même mais j’ai demandé à quelqu’un de m’allumer quand même car je n’avais pas la force de le faire même si je lui ai demander après réflexion de ne pas le faire donc les ambulanciers de l’armée sont venus me sauver à cause que sur mes cartes étaient marquée «Maréchal » et j’ai demandé à ceux qui photo-43 page-41 était là d’appeler l’armée, car la police avait essayé de me tuer en m’accusant d’être en fait un gros criminel qui avait infiltré la police et je me disais que j‘aurais eu un meilleur traitement avec l’armée donc après mon opération qui m’a couté onze millions de dollars une chirurgie une chirurgie plastique un lavage de cerveau quand je me suis réveillé après l’accident et la chirurgie j’étais en « 1987 » et depuis que la mémoire m’est revenu l’histoire est différente j’ai été harnaché et hypnotisé durant 20 ans photo-44 page-42 car tout provenait de moi fils et petit-fils de « Rockefeller » alors j’étais sûr que ce n‘est qu’une histoire de vol que en 1986 ma mémoire avant d’écrire mon histoire ma mémoire me bloquait ma mémoire me disait bien la vérité mais pas sur qui j’étais réellement l’histoire est vraie mais j’étais bien avant le drame presque milliardaire donc je me souviens de la rue panêt quand j’étais avec ma famille à Montréal ma mémoire me manque Photo-45 Page-43 que un jour j’ai fait un party ou bien un party de fête qui était peut-être ma fête en « 1987 » puisque ma mémoire se souvient d’évènements tragiques que je me suis un jour qu’il était arrivé quelque chose de grave et que de tout ce que de tout pu faire pour empêcher l’évènement qu’elle se produise je n’ai pu rien faire (est-ce que les Indiens, les bouddhistes qui nous parlent des vies antérieurs serait la solution à ma mémoire) mémoire qui se souvient qui se souvient d’avoir vue mourir des êtres qui m’ont été les plus cher alors je me souviens de quand j’étais dans cet appartement là que dans l’histoire avant que je me souvienne que j’étais propriétaire de chaussure Photo-46 Page-44 Pégabo que une journée je suis arrivé en Porsche au bureau et reparti tout nue à la porte de mon entreprise, je croyais que je venais de quitter mon emploie sur la rue Paré de l’entrepôt Pégabo que je marchais dans la rue et un homme sorti avec du matériel de démolition d’un appartement avec une brouette et des des mur de jyproc démoli dans la brouette et je lui ai demandé avez-vous besoin d’aide? je viens de quitter mon emploie sur la rue Paré, le monsieur me dit bien sur mais on est pas riche je t’engage et je peut t’offrir vingt dollars par jour à manger et après que j’aie accepté j’ai passé la journée avec monsieur « Copel » à démolir l’appartement sur la rue Jean-Talon il m’offrit à louer sur la rue « Panet » près de St-Hubert et SainteCatherine. Je lui ai dit j’ai un appartement car je vie avec ma mère qui m’a louer un deux et Photo-47 Page-45 demi chacun sa chambre mais en faîte je vie seul elle est chez son chum et venait une journée ou deux par semaine « je vais réfléchir à la question et je vous donnerai une réponse à la fin de la journée ». Je décidai à dix-sept ans je me suis vu comme maître d’un nouvel appartement qui serait le mien, j’acceptai je fini par déménager et voilà, je n’ai pu la mémoire que j’aurais voulu pour souvenir de tout car dans cette appartement j’ai réalisé beaucoup de mes créations diverses qui va de la création de tissues, des vêtements que j’ai créé et que j’ai encore aujourd’hui et beaucoup d’autres œuvres de peintures, de sculptures mes tapisseries ma broderie la photographie et le cinéma entre autre ceux qui j’ai tourné pour cinq cents dollars de pellicules de ma caméra 16 millimètres « Sony » professionnel et tout ça, tout ce qui m’a été volé de façon cruelle par des bums de la rue que j’ai rencontré que ma mémoire se souvient que des proches qui était avec moi aurais perdus la vie tués et assassinés par les voleurs après avoir été hypnotisé. Les circonstances sont irrégulière que les policiers et les coupables que la vérité de cette affaire est existé mon amnésie m’a fait… Photo-48 Page-46 le temps qui forme le corps de ma marionnette et un tricot forme les bras. Je me souviens que la lampe je l’ai créé à partir de jouet de plastique. La lampe était une trompette et j’ai eu de la difficulté pour faire l’abat-jour car on m’avait volé mon plastique pour m’empêcher de continuer les cheveux sont d’un plastique très simple et je crois que il y a peut-être des vrai cheveux car j’en avais plusieurs fait en soie avec des péruques soie des mélanges de cheveux et de synthétiques. La même époque peut-être trois semaines de la même été que mon pot de siffleux la poigné est tressée de corps de femmes le pot est un mélange d’argile en poudre de farine de sarasin, farine blanche, de blé, cuit au four à 450 degrés Celsius. Si je me souviens bien, la sonorité était parfaite que c’était les bols de siffleux du monde mais celui-là n’est pas le premier il a été brisé j’en avait fait de toutes les notes son bec « du pot » un bec verseur est de la grosseur de la bouche et la forme était pour siffler de la bonne façon. Je donnais des spectacles que j’invitais des amis à la maison. L’amnésie est assez être exactement dans les dates et des évènements dans l’espace-temps les endroits, l’époque de « 1986 », aujourd’hui, « les foufounes électriques » était un sqwat que je croyais avoir loué mais c’était ma bâtisse, j’en était le propriétaire, j’en ai fait un sqwat pour aller boire et relaxer quand je venais à Montréal. Mon frère était chef de l’association du « Cejep Saint-Laurent » et il restait de la bière du « party du Cejep » que j’ai acheté. J’étais devenu un « after hour » gratuit et j’ai eu l’idée d’ouvrir un bar Et moi on m’a hypnotisé je me souvient que mon frère était devenu propriétaire à ma place et que dans les papiers je n’apparait à nulle part que quand le drame … Après le drame ce fût l’amnésie total. À cette époque j’étais avec Éric Carrière et Serge m’avait démoli avec des bats de baseball avec sept autres amis mon magasin de la rue Sainte-Catherine mais ce n’est pas exacte encore l’hypnose dont je suis victime m’a… Photo-49 Page-47 elle n’est pas la bonne j’oublie. Il y avaient au « sqwat » plusieurs styles que mon frère et ses amis en avaient un peu peur style « Vovoid » à l’époque mon frère avait une amie qui avait un loft dans le Vieux-Montréal. J’étais le propriétaire qui elle aussi avait complotée contre moi et que après avoir été doublé dans la situation que j’ai en mémoire assez complexe de la vie de jeune et que réussir dans mon domaine est assez complexe et j’ai été doublé de l’histoire. Je ne pense pas être dans l’erreur à raconter l’histoire. Ma mémoire après les traumatismes et de l’hypnose et même peut-être une lobotomie n’est pas exacte mais toutes mes œuvres… Photo-? Phot-Au dessus de nos tête si tu ne trouve pas la photo Page-47 J’ai rajouté des impressions d’un mélange de teinture à « Montréal-Nord » j’avais fabriqué une clôture à jardin, découpé dans des barils de plastique, d’huile végétal d’un restaurant le design est à partir d’une chaine, j’ai des photos de mes clôtures que j’ai entouré un carré de sable ainsi que des masques de notre enfance que j’avais acheté à « New York » avant de rester à « Saint-François » des clôtures en plastique de jardin de ma confection m’ont servi à… photo-52 page-48 …ce c’est un peu étrange dans ma tête ça reste à voir dans la réalité que j’en avaient teints une partie sur la rue « Dufresne » et que avant les évènements, j’ai été vivre chez lui c’était une façon de dénoncer le drame de ce qui est arrivé, je devais pour plus-tard, la compléter. C’était la première étape de l’œuvre. Vous croyez que c’est une saleté mais c’est une teinture au « Tia Maria ». Je voulais que se soie des œuvres qui me reste. J’avais un plan d’urgence, victime de fraude que l’œuvre, n’était pas fini et que je devais ignorer la chaine car les motifs de tête de mort de ma clôture est le résultat d’une chaîne photo-53 page-49 comme je l’ai fait et aussi utilisé cette couleur pour la fin de ma preuve de ma création alors j’ai terminé le projet et je crois que des esprits que je connais et qui sont près de moi dans cette appartement m’ont communiqués la bonne façon de leurs rendre « hommage » et qu’ils me connaissent Et qu’ils se souviennent de moi. Cette tapisserie est un hommage à ma mémoire de toutes les personnes que je mes souviens, ma famille, mes amis, c’est-à-dire de tout ce que je me souviens de ma vie donc après le travail complètement terminé que j’ai rajouté la couleur qui a servit à plusieurs de mes projets artistique dont la sérigraphie j’ai complété en bleu ciel aussi la sérigraphie du manteau de staff de nouveau bar « Roger ». Mon personnage, un bonhomme en fer forgé à cinq têtes que représente les bras et les jambes et sur les lettres de « Roger » j’ai aussi recoloré les lettres et il y avait la coupe que j’ai aussi recoloré avec le même produit et j’ai remis de la couleurs dans le rectangle ou est inscrit «card à bingo » « Bin de bingo » pour « Ben » Et « Dan » de «dancing food » « Roger » pour « Roger’s » qui fait «Roger et Benoit » et « Daniel » et moi on peu me lire Aussi que ¸a va avec le manteau D’amis se sont les pièces du casse-tête Que ça sa va avec ça. On peut retrouver… Photo-54 Page-50


39 vues0 commentaire

Posts récents

Voir tout

コメント


bottom of page